Bovins de boucherie Commerce fluide dans l’entrée de gamme
L’offre de bonnes femelles de qualité bouchère est faible, ce qui assure le maintien des prix malgré une demande peu soutenue. Les stocks d’arrières dans les abattoirs sont toujours importants.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
À Cholet, les tarifs des bonnes parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines et charolaises sont reconduits. Les vaches charolaises de milieu de gamme (R= à U–), se négocient de 3,74 à 3,80 €/kg, mais les tarifs plafonnent.
Les vaches R restent la gamme la plus plébiscitée, face à des commandes promotionnelles de certaines enseignes. Les tarifs se situent entre 3, 50 et 3,74 €/kg avec une moyenne proche de 3,63 €/kg. Les tarifs sont un peu mieux défendus dans le centre du pays. Les charolaises R= étaient à 3,72 €/kg en fin de semaine à Saint-Christophe-en-Brionnais.
Pour les laitières, la tendance reste positive avec des disponibilités justes suffisantes. Les prix gagnent de 0,03 à 0,04 € par semaine. Pour les bonnes prim’holsteins, les tarifs approchent de 2,80 €/kg de carcasse dans le sud du pays et 2,72 €/kg dans l’Ouest et le Nord. La valorisation moyenne dans les P= (+260 kg) se situe entre 2,45 et 2,55 €/kg.
Les normandes et montbéliardes suivent cette tendance avec des O qui se négocient entre 3,05 et 3,13 €/kg.
En jeune bovin, le commerce est plus régulier dans l’entrée de gamme. Les bons sujets U de poids convenable peinent à être revalorisés.
[summary id = "10041"]
Pour accéder à l'ensembles nos offres :